Mercredi 22 Mai, nous avons eu le plaisir de retrouver nos adhérent.es, partenaires, sympatisant.es, de France et du Sénégal pour les AG ordinaire et extraordinaire de l’association. Suite à la présentation et validation du rapport moral, du rapport d’activité et du rapport financier, 5 membres du CA ont renouvelé leur candidature et ont été élus à l’unanimité. Enfin, 3 personnes ont présenté leur candidature et ont également été élues à l’unanimité. Il s’agit de Michaële GROSHANS et Mouhamed SYLLA qui ont occupé le poste de directeurice d’ADOS auparavant et Isabelle SEREN. Nous leur souhaitons la bienvenue ! Enfin, les nouveaux statuts de l’association ont été validés lors de l’AG extraordinaire.
Par la suite, avant d’ouvrir notre appétit autour d’un buffet riche en diversité, nous avons ouvert nos esprits autour d’une table ronde sur : « ECSI on changeait le monde ? ». Notre objectif était de faire comprendre la notion d'Éducation à la Citoyenneté et à la Solidarité Internationale, une discipline que beaucoup pratiquent sans forcément s'en rendre compte. Parce que mettre des mots sur nos pensées, c’est les voir se réaliser. Nous avons débattu de l’essence de l’ECSI autour d’un Quizz pimenté, rien de tel pour s’échauffer les idées !
Pour continuer cette table ronde, nous avons eu l’honneur de donner la parole à plusieurs acteurices de l’ECSI pour nous parler de leurs parcours, leurs structures et leurs visions de cette discipline : Mathieu Crochet, responsable jeunesse à la MPT Petit Charran, Huguette Oke, service civique PrODDige à la MPT, Anne Guichard enseignante au Lycée Montplaisir et Françoise Michalon présidente d’Artisans du monde. Dans nos échanges, nous nous sommes intéressés aux impacts et à la plus-value de l’ECSI. L’ECSI est une porte d’entrée à l’épanouissement d’une multitude de public, de celui qui donne à celui qui reçoit, du jeune à l’expérimenté, tout en traversant les différentes frontières de notre monde. La posture de l’ECSI met nos egos de côté, elle nous permet de déconstruire nos différentes représentations, de nous questionner sur nos sociétés. Mais le plus important, dans un monde où l’optimisme est autant à la peine que nos stocks de pétrole, elle nous redonne espoir, elle nous fournit les outils nous permettant de reconstruire un monde plus juste, plus solidaire et plus durable.